2024

21 déc.
20H

VIDÉO CLUB

Justine et Jean-Marc, mariés depuis vingt-cinq ans, découvrent qu’une mystérieuse webcam les filme depuis des mois dans leur cuisine.
Abasourdis, ils reçoivent chaque jour une nouvelle vidéo, les confrontant à leurs petites médiocrités du quotidien, à leurs mensonges et à leurs trahisons. Tout en finesse et en humour, ces images mettent en lumière les actes et paroles inavouables de ce duo charismatique…
Mais un couple peut-il résister à la transparence totale ? Dans cette comédie toute en nuances de Sébastien Thiéry(Momo, Deux hommes tout nus, Cochons d’Inde), Justine (Noémie Lvovsky) et Jean-Marc (Yvan Attal) rivalisent tour à tour de mauvaise foi pour justifier des vérités qui n’auraient probablement jamais dû surgir.

2025

11 jan.
20H

BÉRENGÈRE KRIEF

« On dit toujours que ce sont ceux qui en parlent le plus qui pratiquent le moins. La bonne nouvelle, c’est qu’il vous suffira simplement d’écouter.

Je vous propose qu’on partage une heure de sexe.
Une heure de sexe, parfois c’est court, parfois c’est long. Ce qui est sûr, c’est qu’une heure ensemble, ce sera forcément bon. »

Bérengère Krief


Production :

BK PRODUCTIONS et M&G

21 jan.
20H

IL FAUT QU'UNE PORTE SOIT OUVERTE OU FERMÉE

Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée est un proverbe d'Alfred de Musset en un acte publié en 1845 dans la Revue des deux mondes. La pièce fut jouée pour la première fois en 1848.

Comme le définit Sylvain Ledda : “ Le proverbe dramatique est une forme ludique dont Il faut qu’une porte soit ouverte ou fermée constitue un modèle du genre. À l’origine, le proverbe se joue entre deux paravents, face à un public directement concerné par l'intrigue et les personnages.
L’intrigue est souvent simple et le nombre de personnages réduits. Au dénouement, un proverbe ou un adage est prononcé, qui éclaire rétrospectivement l’action dramatique.”
Sous l’apparence d’une conversation, la pièce contient un motif fondamental et récurrent dans l’œuvre de Musset.

Le duo. Le couple. L’homme et la femme face à face. L’amour, au centre de la relation entre deux êtres, ou plutôt l’expression de sa vérité au théâtre, de ce que l’on croit à travers l’expression littéraire, est au centre des préoccupations de l’auteur. Quel devrait être l’expression nécessaire et crédible de l’amour ? Qu’est ce qui fait que l’art du jeu de l’acteur et de la mise en scène donne à faire croire à l’expression des sentiments et des paroles dites ?

25 jan.
20H

AGNES JAOUI

Nouveau spectacle : « Attendre que le soleil revienne »

Voilà quelques années, qu’on me demande - la foule en délire et surtout Olivier Gluzman - d’écrire des chansons en français.
Mais je n’arrivais pas à écrire des paroles de chansons. Et en fait, j’avais à peine envie de chanter en français, même les mots des autres. Je me sentais protégée, je crois, par les langues étrangères tandis qu’en français, je me sentais comme à nue, maladroite et ne trouvant pas comment faire chanter les mots. Peu à peu j’ai appris, à raison d’une à deux chansons par concert et par disque. J’ai apprivoisé le français chanté et accepté de me montrer un peu plus intimement en chanson.
Et voilà, après 20 ans de scène en espagnol, portugais, hébreu ou arabe, un premier album en français.

Agnès Jaoui

31 jan.
20H

STEPHAN EICHER

Stephan Eicher
Seul en scène

Le hasard, mon fidèle compagnon, qui connaît toutes les abréviations et inversions mieux que n'importe quel GPS, m'a emmené, lors d’une flânerie de printemps, dans un quartier
moins affairiste ; un quartier rêveur, presque villageois, dans cette ville où je me trouvais par hasard.
Le hasard, toujours lui, m’obligea à contourner un tramway accidenté. Et je me retrouvais sur une place où de grands arbres cachaient une récente et élégante bâtisse, couchée
comme un animal sauvage, sûr de lui, sans peur.
Le bâtiment portait la mention THÉÂTRE

Au cours de mes 40 années en tant que musicien itinérant, j’ai appris que les théâtres sont de bons endroits pour exercer cet acte à la fois excitant et effrayant qui est de monter sur scène devant un public.

Je sais qu’il a un rideau rouge et lourd qui étouffe la rumeur du monde extérieur et ses actualités sans fin ; qu’il y a un public qui s’est soigneusement préparé pour ce rendez-vous et amène le plus précieux des biens : son attention !

J’aspire depuis longtemps à passer davantage de temps qu’une seule soirée de concert ; à séjourner en travaillant avec l’équipage de l’un de ces grands navires fermement ancrés, au coeur de l’une de ces merveilleuses machines, de ces vaisseaux des rêves.

La porte était ouverte. Les gens étaient accueillants, curieux et attentifs… Et ils m’ont proposé de poser mes bagages, mes chansons, les paroles de mes amis Philippe Djian et Martin Suter, mon premier synthé acheter en 1980, une boite à rythme poussiéreuse, une guitare achetée tout de suite en sortant dans un magasin de musique à deux pas du théâtre…oui, ils existent encore, ils n’ont pas tous disparu comme les magasins de disques. Il y aurait, bien entendu, des histoires à raconter sur ce sujet. Bien des histoires…

Et si tout va bien, comme dans une chorale, la voix individuelle se fondrait dans quelque chose de plus grand, de plus humain. Oui, peut-être que le mot « humain » est plus approprié pour ces moments-là.

J’amènerais mes peurs, mon courage, mes inquiétudes et mes joies, à cette adresse exacte :
notre univers, notre galaxie, la Voie Lactée, notre système solaire, la planète Terre, l'Europe
– Le Théâtre

Et nous voilà, vous, moi et le hasard
Merci pour votre temps et votre attention

Coeurdialement
Stephan Eicher

06 fév.
20H30

HANAMI

En japonais, HANAMI désigne le fait de se délecter du spectacle très éphémère de la floraison des cerisiers. En français, il désigne un duo de musiciens pratiquant une chanson électronique teintée d’influences pop et hip hop.
Aux urgences d’un monde qui semble s’écrouler, ils opposent tendresse et lucidité, clairvoyance et poésie pour hurler l’envie de ne pas en rester là, de ne pas se satisfaire de ce constat et de parier sur la beauté comme remède à l’anxiété.

08 fév.
20H

CHIEN NOIR

Cette poésie musicale porte Apollo, premier album au sein duquel chien noir se mue en astronaute de la galaxie pop, remontant le temps jusqu’à la variété des années 80 et 90, celle de son enfance. De Jean-Jacques Goldman à Phil Collins, en passant par Springsteen, David Bowie, Mike and the Mechanics...
Ces références transparaissent dans la production comme dans les chansons, munies des mêmes moyens et des mêmes envies qu’à l’époque : que la musique sonne, sonne, sonne ! Et qu’elle fasse vibrer nos cordes sensibles.
Apollo, c’est aussi le nom d’un dispositif médico-expérimental dont aurait pu bénéficier la mère de Jean, disparue il y a quelques mois : « Après sa mort, j’ai réalisé que ce nom d’Apollo, qui la faisait beaucoup rire, devait devenir celui de l’album.
Vu que l’album me permet de parler de tout ce qui a pu me construire, il me permet de perpétuer mon propre souvenir et de sauver ma mère. Elle y est partout, même lorsque je ne parle pas d’elle. »
Autour de ce fil rouge, chien noir raconte l’amour, l’amitié, les départs et les retrouvailles, les exaltations et la mélancolie, tout ce qui constitue nos existences. Tel un vaste récit d’apprentissage, éternel recommencement où l’écriture devient « un prisme formidable pour voir à travers soi ». Cette intériorité est permise par une structure sonore pop,
chaleureuse. Ces douze titres, riches du chemin déjà tracé par les deux EP de chien noir, ont bénéficié des apports de Lionnel Buzac, de Martin Lefebvre et de Tristan Salvati. Du minimalisme mélancolique de « Dans les yeux le monde » à la danse auto-tunée de « Julia », du R’n’B eighties d’« Olvido » au mid tempo à l’anglo-saxonne de « Si j’étais toi », de la ballade folk « Rien à voir » à la pop spacieuse aux échos hip hop de « Ton coeur »… Le chant de Jean est plus affirmé que jamais.
« Est-ce que toi aussi, tu fais comme si, ton coeur n’allait pas éclater ? », demande Jean dès les premières mesures. Peut-être que oui, mais il bat la chamade en écoutant Apollo.

26 fév.
20H

L'AUDIENCE EST OUVERTE

Richard Berry est de retour sur les planches dans un nouveau spectacle, une création intitulée L’audience est ouverte, mise en scène par Éric Théobald.

Ce spectacle aborde quatre grandes affaires emblématiques du XXème siècle à travers le prisme de plaidoiries prononcées par de grands avocats :
Maître Jakubowicz lors du procès de Klaus Barbie et ses crimes contre l’humanité
Maître Labori avec le procès d’Émile Zola dans l’Affaire Dreyfus
Maître Dupin sur la fin de vie
Maître Molteni, dans un concours d’éloquence, sur le délit de solidarité

Entrecoupée d’images d’archives et appuyée par un procédé technique très impliquant, la mise en scène se veut immersive et invite le spectateur à endosser le rôle du juré.

Un travail d’ambiance sonore et musical renforce cette tension palpable dans une salle d’audience et plonge le spectateur dans ces quatre moments d’Histoire et de Vérité.

Avec L’audience est ouverte, Richard Berry met en lumière des affaires passionnantes, par leur dimension intemporelle, qui font écho à des enjeux contemporains essentiels.

01 mars
20H

JÉRÉMY FREROT

Après le succès des Frero Delavega, Jérémy Frerot a poursuivi sa carrière en solo : 2 albums, 2 disques d’or.

Parmi les artistes les plus talentueux de sa génération, il est à la fois l’un des plus médiatisés (il est parmi les artistes les plus diffusés en radio et en TV), et à la fois un homme engagé pour une cause qui lui est chère : la protection des océans.

En effet, depuis 2019, il est ambassadeur de Surfrider Foundation Europe, participant à plusieurs événements de sensibilisation et en les aidant à gagner en notoriété auprès de son public.

08 mars
20H

LE CERCLE DES POÈTES DISPARUS

Jean-Marc Dumontet présente le cercle des poètes disparus

Oh Capitaine, mon Capitaine... Cette réplique du Cercle des Poètes Disparus résonne toujours. Pour la première fois en France, le Théâtre Antoine adapte le film, avec dans le rôle du magnétique John Keating, Stéphane Freiss. Ce professeur charismatique et iconoclaste inspire ses jeunes élèves s’ouvrant à la vie, loin du carcan des conventions qu’incarne leur établissement. Histoire émouvante et contemporaine, la pièce célèbre l’amitié, l’émancipation, la transmission au moment où se dessinent personnalités et destins. Un cri à la vie ! Un cri à la Liberté ! Carpe Diem ! Carpe Diem !

Auteur : Tom Schulman d’après le film produit par Touchstone Picture écrit par Tom Schulman

Production originale : Classic Stage Company En accord avecl : Adam Zotovich

Directeur artistique : John Doyle Directeur général : Jeff Griffin Adaptation française de Gérald Sibleyras

Mise en scène : Olivier Solivérès

Adaptation : Gérard Sibleyras

Avec : Stéphane Freiss,
Ethan Oliel, Hélie Thonnat, Audran Cattin, Maxence Seva, Pierre Delage, Maxime Huriguen, Yvan Garouel, Olivier Bouana, Joseph Hartmann et Arthur Toullet

Décors Jean-Michel Adam

Lumières Denis Koransky

Costumes Chouchane Abello-Tcherpachclan

Vidéos Sébastien Mizermont

Musiques Cyril Giroux

Assistant mise en scène Pierre Marazin

Costumes Isabelle Sitbon

15 mars
20H

AVALON CELTIC DANCES

Un show de danses, de musiques et de chansons irlandaises avec, en toile de fond, l’histoire d’une rivalité entre deux prétendants se disputant, au pub, le cœur de la belle Mary.
Un spectacle captivant, à taille humaine préservant la proximité avec les danseurs et les musiciens, mêlant d’époustouflantes chorégraphies de claquettes, de joyeuses scènes de Céilí à de belles chansons traditionnelles d’Irlande.
Avec une énergie impressionnante, et toujours avec élégance, les danseurs se lancent des défis permettant de toucher du doigt le meilleur de la verte Erin.

18 mars
20H

L'HEURE DES ASSASSINS

L’HEURE DES ASSASSINS

« La réussite est une chose étrange. Voyezvous, ce soir, je signe mon retour triomphant en Angleterre.
Tout le gratin de Londres sera là, pourtant il y aura bien un grand absent.
Moi, Philip Somerset.
Vous ne me verrez pas car ce soir, je vais mourir.
Oh détrompez-vous, cela ne me fait pas plaisir !
Au contraire…
C’était une si belle soirée, j’étais entouré d’amis chers : Katherin ma soeur bien aimée, Hartford mon bras droit, Bram Stoker le directeur du théâtre, Georges Bernard Shaw le dramaturge, Miss Lime mon assistante, Arthur Conan Doyle le
célèbre romancier.
Pourtant mon meurtrier est forcément parmi eux. Alors Qui ? Qui m a assassiné ? Et si c’était simplement mon heure ? »

de Julien LEFEBVRE
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Avec Stéphanie BASSIBEY, Pierre-Arnaud JUIN, Ludovic LAROCHE, Ninon LAVALOU, Jérôme PAQUATTE, Nicolas SAINT-GEORGES

Mise en scène
Elie RAPP et Ludovic LAROCHE

21 mars
20H

MACHINE DE CIRQUE

Poétique et humoristique, les six hommes de Machine de Cirque ont tout pour plaire. Un seul problème : ils sont seuls au monde. Leur quête : entrer en contact avec d'autres survivants grâce à une étrange machine. Y parviendront-ils ? Qui sait ? Ils se laissent facilement distraire par leurs envolées imaginatives et partagent un talent particulier pour se mettre dans des situations périlleuses. C'est tout naturel ! Comment pourraient-ils survivre autrement dans cet univers dépourvu de femmes et d'ordinateurs ?
Intrépides, touchants et comiques, ces six personnages excentriques partagent un lien contagieux. Ils manient avec maestria une planche coréenne, des massues de jonglage, une batterie et même une serviette de bain !

28 mars
20H

D'APRÈS UNE HISTOIRE VRAIE

Huit danseurs, deux batteurs. Dix hommes donc, pour venir déposer le carcan de « la masculinité ».
Il y a près de dix ans, d’après une histoire vraie ouvrait la voie à une irrésistible fluidité des polarités, rompant un à un les antagonismes par la grâce, sinon la fougue, de ses mouvements. Aujourd’hui, elle invite ses interprètes à redéployer une chorégraphie où se dénouent délicatement les divisions entre tradition et modernité. Pièce pivot, s’il en est une, elle porte à son point d’incandescence le souvenir d’une émotion, en étire sa matière jusqu’à la déflagration. Dans la friction entre les rythmes telluriques et les corps ondoyants, la danse invente sa propre plasticité.
Au coude-à-coude avec la musique, elle court sur un arc qui va du rite tribal à la forme géométrique, de la fiction à l’abstraction, du groupe à la communauté. Mais c’est encore dans la solidarité souterraine des gestes, faisant que chacun tient grâce à la présence de l’autre, qu’un folklore sans territoire peut advenir.
Aux chutes répondent les contacts sans cesse renouvelés, aux tournoiements l’assurance d’une main tendue, saisie dans toute sa plénitude. Des singularités s’observent, s’assemblent et se détachent pour se réunir à nouveau. Comment être ensemble ?
La question, ici, prend toute son acuité.

01 avr.
20H

KESSEL

Joseph Kessel, écrivain, grand reporter et aventurier a traversé le XXe siècle, dont il a été l’infatigable observateur. Explorateur du monde et de la nature humaine, témoin de son temps, il avait une soif de vivre (et de boire) inextinguible. Kessel – La liberté à tout prix est un spectacle qui raconte cette existence hors du commun.

Spectacle conseillé à partir de 12 ans

Molière 2018 du Comédien Second Rôle (Adieu Monsieur Haffmann)
Prix du Brigadier 2022
Nommé pour le Molière 2024 du Seul/e en scène

Distribution
Texte et mise en scène Mathieu Rannou
Interprétation Franck Desmedt
Décor Franck DesmedtCostumes Virginie HLumières Laurent BéalMusique Mathieu Rannou

04 avr.
20H

JE L'AIME ET JE L'AURAI

Les Lucioles préentent Olivier MINNE, Patrice LAFFONT, Valérie LAFFONT, Florence MAURY, Agnès PAT', Benoit MORY dans Je l'aime et je l'aurai !

d'après la pièce "Pour avoir Adrienne" de Louis VERNEUIL
Adaptation et mise en scène : Jean-François VARLET

Adrienne Thomeret est une jolie femme pleine de charmes mais aussi de préjugés et de tabous.
Un homme s’introduit chez elle et lui fait une cour insolente. Malgré ses efforts immodérés, il n’arrive pas à toucher son coeur et ses tentatives de séduction échouent lamentablement les unes après les autres.

Un hasard opportun lui permet de découvrir très vite que le mari d’Adrienne n’est pas le mari fidèle que l’on croyait. Cette découverte va être, pour lui, un précieux moyen de chantage.
C’est là ou la comédie commence et elle est loin
d’être terminée…

Monsieur Thomeret

25 avr.
20H

LA VIE EST UNE FÊTE

Il faut toute une vie pour apprendre à (s’)aimer

Est-ce parce qu’il est né un 1er janvier que Romain a fait de la phrase d’Audrey Hepburn son mantra ?
« La vie est une fête, habille-toi pour ça. »
D’anniversaire en anniversaire, le jeune homme raconte sa vie insouciante entre les bouleversements sociétaux du XXe siècle et des débuts du XXIe siècle. Difficultés familiales, amitiés, premières expériences sexuelles, découverte de l’amour en même temps que de son homosexualité, militantisme, transmission... Il faudra un événement tragique pour inciter enfin Romain à prendre part au combat, défendre ses droits et s’engager.

02 mai
20H

UN GRAND CRI D'AMOUR

UN GRAND CRI D’AMOUR, LA COMÉDIE CULTE DE JOSIANE BALASKO REVIENT AVEC ALEXANDRE BRASSEUR et CATHERINE MARCHAL

Après s’être aimés passionnément ; aujourd’hui ils se haïssent !
Unis à la vie comme à la scène, Gigi et Hugo formaient le couple d'artistes le plus en vue du Théâtre.
Depuis leur séparation, Gigi a sombré dans la dépression (et dans l’alcool) tandis que son ex-mari tente de relancer sa carrière d'acteur avec une nouvelle pièce de théâtre.
La première représentation va bientôt avoir lieu, mais sa partenaire lui fausse compagnie... Sylvestre (l’agent) et Léon (le metteur en scène) décident de faire appel à… Gigi pour remplacer la comédienne au pied levé ! L'occasion pour Gigi de revenir sous le feu de la rampe. Encore faut-il que les ex-amants acceptent cette idée !

Entre Amour et Humour, des retrouvailles explosives, des dialogues percutants, des coups bas machiavéliques… Alexandre BRASSEUR et Catherine MARCHAL forment un duo choc de drôlerie et de tendresse !

De : Josiane BALASKO
Avec : Alexandre BRASSEUR, Catherine MARCHAL, Jean-Marie LHOMME, Fred NONY

Mise en scène : Eric Laugérias

10 mai
20H

BOODER

Ah l'école !

Après l’énorme succès de « Booder is back », booder a repris son cahier et son crayon quatre couleurs pour nous écrire un spectacle drôle et touchant sur l’école. De l’école de son enfance à celle de son fils aujourd’hui, il nous brosse avec humour le portrait du système scolaire. Un système scolaire en péril qui pourtant est la base du bien être de nos enfants. Tout y passe. Ses copains, le harcèlement scolaire, la récrée, ses profs.
Connu pour les cours particuliers hilarants donnés à son fils, Il revient avec, dans son cartable, un spectacle pour toute la famille.

16 mai
20H

STEF SANSEVERINO

À l’heure où j’écris ce petit descriptif de mon nouveau projet sur scène, il n’a pas encore de titre. L’album dont la fin de l’enregistrement date d’hier, n’est lui non plus ni mixé, ni titré,
c’est pas sérieux… Par contre, ça joue sérieux !
Les influences viennent un peu de l’Afrique, du blues des années 70 mais aussi du funk de la Nouvelle-Orléans.
Au niveau des textes, j’avoue avoir totalement oublié de me censurer…

- Stef Sanseverino

21 mai
20H

NAWELL MADANI

Entre charge mentale, notoriété et tentation du botox, Nawell revient plus mature que jamais pour son nouveau spectacle ! À une époque où tout va trop vite, cette touche-à-tout prend le temps de nous partager avec franchise et esprit les aléas de son quotidien. De ses défis. De ses défauts. Fini le bla-bla, Nawell prend les raccourcis.

ATTENTION : Le spectacle est déconseillé aux moins de 16 ans.

28 mai
20H

J'AVAIS MA PETITE ROBE À FLEURS

Une société de production de télévision demande à Blanche Baillard de témoigner.
Elle a trois jours pour raconter son histoire, seule chez elle, face à une caméra.
Si elle est « convaincante » et « pertinente », elle pourra participer au direct et, devant des millions de téléspectateurs, raconter le pire événement de sa vie.
Blanche Baillard croit que raconter va l'aider à oublier...

04 juin
20H

PUNK.E.S

Comment nous ne sommes pas devenues célèbres

La pièce raconte l’histoire du premier groupe de punk féminin anglais : Les Slits. Elles se sont formées en 1976 et se sont séparées en 1979.

Elles étaient quatre et venaient d’univers sociaux extrêmement variés, allant de la grande bourgeoisie allemande, au milieu ouvrier anglais en passant par l’univers clandestin des réfugiés politiques espagnoles.
Elles s’appelaient Viv Albertine, Ari Up, Palmolive et Tessa Pollit. Elles vivaient à Londres.
Elles avaient entre quatorze et vingt ans. Elle se sont lancés à corps perdu dans cette aventure : deux d’entre elles n’avaient jamais touché un instrument de musique auparavant.
Elles ont réussi l’exploit d’être le premier groupe au monde à obtenir le contrôle total de leur image auprès de leur maison de disque.

06 juin
20H

IZO FITZROY

LA GRANDE CHANTEUSE SOUL ET GOSPEL IZO
FITZROY REVIENT AVEC A GOOD WOMAN SON
ALBUM LE PLUS INTIME ET LE PLUS PERSONNEL.

Il s’agit d’un voyage spirituel.
Le troisième et le plus personnel des albums de la star de la soul et du gospel Izo FitzRoy est une réflexion étonnante et puissante sur son parcours personnel.
Un voyage qui commence par une déconnection d'elle-même à travers la dépression, pour finalement revenir lentement à elle-même. Récupérer ce que signifie pour elle être une femme aujourd'hui et comment cela se traduit de manière sonore pour elle en tant qu'artiste.
Cet album emmène les chansons d'Izo vers un nouveau territoire qui est musicalement vibrant et extatique, avec des paroles allant de l'introspection à l'élévation spirituelle et
à l'autonomisation.
"La chanson-titre A Good Woman résume l'essence de l'album. Une prise sur ce que cela signifie d'être « une bonne femme » dans la société. Quelles étiquettes nous donne-t-on
en tant que femmes, ou les rôles que nous estimons devoir remplir pour être considérées comme « bonnes » ou « réussies ».
L'album est en partie autobiographique et jette un regard plus large sur le fait d'être une femme dans une industrie dominée par les hommes et de vivre dans une société
patriarcale. J'ai essayé d'examiner la myriade de façons dont les femmes (moi y compris) ont cédé leur autonomie et leur pouvoir aux institutions, aux labels et aux personnes ».
La chanson d’ouverture Hope Divine est le début du voyage d'Izo dans sa reconstruction.
Musicalement et lyriquement, il s'agit de revenir à la vie après une période d'intenses doutes de soi.
Cela conduit à Chasing Days, un hymne estival optimiste et instantanément mémorable rendant hommage aux femmes motivées et ambitieuses du monde entier.
La lumière et l'ombre musicales peuvent être vues avec l'ouverture de la face B God Gets A Little Busy Sometimes. Un piano obsédant et une voix puissante conduisent la première moitié de ce morceau avant que le groupe ne se révèle pour son apogée.

10 juin
20H

ORCHESTRE À VENTS DE LENS

L'Orchestre à Vents de Lens célébrera les 80 ans de la fin de la seconde guerre mondiale en rythme et en musique.